En se basant sur les données de survivants japonais de la bombe atomique, les calculs actuels des risques de tumeurs solides induits par les radiations sont surestimés. C’est la conclusion à laquelle parvient un article scientifique de Luana Hafner, collaboratrice de l’IFSN, en collaboration avec les épidémiologistes Linda Walsh et Werner Rühm.
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