Une majorité de la population suisse a une attitude critique par rapport à l’énergie nucléaire. Pourtant, seule une personne sur cinq juge les centrales nucléaires helvétiques comme n’étant « pas sûres ». Un sondage représentatif de la population réalisé par l’Université de Zurich arrive à ce résultat.
Les reproches de connivence formulés contre l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) sont infondés. Les avis d’experts indépendants sont suffisamment pris en compte lors de prises de décision. Les analyses du DETEC et du conseil de l’IFSN arrivent à cette conclusion.
L’IFSN forme des apprentis depuis le mois d’août de cette année. Elle soutient par-là une initiative de la Confédération. Albiana, en apprentissage d’employée de commerce, et Yannic, en apprentissage d’informaticien, tirent un premier bilan deux mois après leurs débuts.
Depuis 300 jours, des activistes du mouvement anti-nucléaire se réunissent devant l’entrée principale de l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN). Mardi soir, ils ne se trouvaient pour une fois pas devant la porte. Ils se sont en effet laissés informer à l’IFSN par la journaliste de la WoZ Susan Boos et par l’expert de l’IFSN Ronald Rusch sur la protection d’urgence.
Le Conseil de l’IFSN veut clarifier les reproches adressés par Marcos Buser et Walter Wildi. Dans les médias, ceux-ci ont entre autres reproché à l’IFSN de ne pas être suffisamment indépendante vis-à-vis de la Nagra. De premiers résultats des analyses doivent être disponibles en automne 2012.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) présente depuis le 1er août 2012 une structure interne optimisée. Ceci permet d’améliorer l’efficacité des procédures et de clarifier les responsabilités. Les tâches dévolues au domaine Systèmes sont à présent intégrées à d’autres domaines. Enfin, il a été créé un nouvel état-major de direction.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) renforce sa communication en langue française. David Suchet prendra la fonction de porte-parole dès le 1er mars 2012 et fera office de point de coordination pour les questions en provenance de la Suisse romande.
Le Conseil fédéral recommande le rejet de la motion de Geri Müller du 22 septembre 2011 de création d’une seconde autorité de sécurité nucléaire. «La répartition des responsabilités entre plusieurs instances de surveillance compétentes équivalentes n’est pas recommandable pour la sûreté nucléaire et comporterait même le risque d’une pénalisation de la tutelle de sûreté, voire dans le pire des cas d’une incapacité d’agir en situation d’urgence», écrit le Conseil fédéral.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) met en place un groupe d’experts sur la sécurité des réacteurs (GESR). Composé d’experts internationaux renommés dans le domaine de l’énergie nucléaire, il conseille l’office de contrôle suisse indépendant qu’est l’IFSN sur les questions importantes relatives à la sécurité des centrales nucléaires. Les membres du GESR se réuniront normalement deux fois par année.
