Les experts de l'ENSREG donnent de bonnes notes à la Suisse : Dans leur évaluation du rapport de la Suisse pour le test de résistance de l’UE, les experts européens indiquent que les centrales nucléaires suisses remplissent les exigences internationales de sécurité dans tous les domaines.
Le groupe des régulateurs européens dans le domaine de la sécurité nucléaire (ENSREG) et la Commission européenne invitent à la deuxième conférence publique sur le test de résistance de l’Union européenne (UE). Elle aura lieu le mardi 8 mai 2012 à Bruxelles.
La sécurité de la centrale nucléaire de Mühleberg sera examinée en octobre de cette année par des experts internationaux. Cet examen aura lieu dans le cadre d’une mission OSART. L’IFSN s’engage pour que de telles vérifications par des équipes de l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) deviennent obligatoires à l’échelle mondiale.
En mai 1962, la Société nationale pour l’encouragement de la technique atomique industrielle décida de construire la centrale nucléaire expérimentale de Lucens. Une caverne renforcée creusée dans la roche sert d’enceinte de confinement pour ce défi technique de taille.
Sur demande des exploitants, l’IFSN a accordé une prolongation du délai jusqu’au 30 juin 2012. A la suite de l’accident de réacteur de Fukushima, l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) avait exigé de la part des exploitants des centrales nucléaires suisses qu’ils évaluent la protection face à des déflagrations et des explosions dues à l’hydrogène.
Suite à l’accident de Fukushima, une des premières réactions de l'IFSN a été d’exiger des centrales nucléaires suisses une nouvelle démonstration de la maîtrise d’un séisme d’une fréquence de 10 000 ans. Dans cette interview, le directeur Hans Wanner explique pourquoi l’IFSN ne voulait pas attendre les résultats finaux de PEGASOS Refinement.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire a accepté le 15 avril 2012 le redémarrage de la centrale nucléaire 2 de Beznau. L’autorité de surveillance n’avait, à la suite de l’examen de la réparation, aucune réticence.
Son objectif essentiel visait le développement d’un réacteur nucléaire suisse. Le projet répondait au large éventail des intérêts des acteurs participants. D'abord, le site du projet n'était pas clairement défini.
Environ une année après l’accident de réacteur de Fukushima, la Commission fédérale de la sécurité nucléaire (CSN) a publié un rapport sur les mesures de suivi en Suisse.
