L’IFSN est l’autorité de surveillance pour la sécurité et la sûreté nucléaire des installations nucléaires en Suisse.
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Le conseil de l’IFSN a nommé le 1er novembre 2021 Annette Ramezanian au poste de nouvelle directrice de la division de surveillance Centrales nucléaires de l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire IFSN. Elle prendra ses fonctions le 1er janvier 2022.
L’IFSN forme des apprentis depuis août 2012. Elle encadre actuellement une apprentie et un apprenti dans le domaine commercial ainsi qu’un informaticien en devenir. Albiana, Julian et Yannic se sont interviewés mutuellement en suisse allemand.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) dispose depuis le 1er janvier 2013 d’un code de comportement. Ce dernier est valable pour les membres du conseil de l’IFSN, la direction et les employés de l’IFSN. Le texte tient compte des directives courantes dans l’administration fédérale.
L’IFSN forme des apprentis depuis le mois d’août de cette année. Elle soutient par-là une initiative de la Confédération. Albiana, en apprentissage d’employée de commerce, et Yannic, en apprentissage d’informaticien, tirent un premier bilan deux mois après leurs débuts.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) présente depuis le 1er août 2012 une structure interne optimisée. Ceci permet d’améliorer l’efficacité des procédures et de clarifier les responsabilités. Les tâches dévolues au domaine Systèmes sont à présent intégrées à d’autres domaines. Enfin, il a été créé un nouvel état-major de direction.
L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) renforce sa communication en langue française. David Suchet prendra la fonction de porte-parole dès le 1er mars 2012 et fera office de point de coordination pour les questions en provenance de la Suisse romande.
Le Conseil fédéral recommande le rejet de la motion de Geri Müller du 22 septembre 2011 de création d’une seconde autorité de sécurité nucléaire. «La répartition des responsabilités entre plusieurs instances de surveillance compétentes équivalentes n’est pas recommandable pour la sûreté nucléaire et comporterait même le risque d’une pénalisation de la tutelle de sûreté, voire dans le pire des cas d’une incapacité d’agir en situation d’urgence», écrit le Conseil fédéral.
