Type : réacteur à eau bouillante REB
Mise en service commerciale : 1984
Puissance thermique nominale du réacteur : 3600 MW
Puissance électrique brute : 1285 MWe
Puissance électrique nette : 1233 MWe
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Après un arrêt d’un mois pour révision, la centrale nucléaire de Leibstadt peut reprendre son exploitation de puissance. Le 30 mai 2023, l’IFSN a permis le redémarrage.
La centrale nucléaire de Leibstadt peut reprendre son exploitation, toujours avec une puissance réduite. L’IFSN lui a octroyé le permis d’exploitation après que sa révision annuelle ordinaire est terminée.
Le Tribunal fédéral a décidé en date du 27 septembre 2017 que la centrale nucléaire de Leibstadt, doit accorder à Greenpeace l’accès à ses données d’émission pour la période allant du 1er janvier 2013 au 1er novembre 2014. L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire IFSN a choisi de rendre ces données accessibles au grand public plutôt que d’uniquement les transmettre à Greenpeace.
L’IFSN a le droit de demander rétroactivement à la centrale nucléaire de Leibstadt ses données sur la teneur en substances radioactives de ses rejets de vapeur dans l’atmosphère, et de les rendre publiques. C’est ce qu’a décidé le Tribunal fédéral en annulant l’arrêt de première instance du Tribunal administratif fédéral.
Aucun arrêt automatique de réacteur n’est à notifier lors de l’année de surveillance 2016. Cela a été le cas la dernière fois en 2011. L’état de la sécurité technique des installations en fonction l’année précédente a été jugé bon, et leur exploitation a eu lieu dans des conditions sûres. C’est à cette conclusion qu’est arrivée l’IFSN dans son Rapport de surveillance 2016 publié aujourd’hui.
La centrale nucléaire de Leibstadt a dû être arrêtée conformément aux prescriptions. Cet arrêt rapide a été déclenché manuellement le vendredi 17 février 2017 à 23h28. La protection de l’être humain et de l’environnement a été assurée à tout moment.
L’IFSN a autorisé le redémarrage de la centrale nucléaire de Leibstadt. Les conditions dans lesquelles les dryouts sont survenus dans cette centrale sont connues. Dans cette interview, Ralph Schulz, chef de la division analyses de sécurité, explique le contexte.
